La banane est un élément essentiel dans nos barres énergétiques, notamment dans Colette, Simone, Lucienne et Marcelle. C'est pourquoi il était primordial pour nous de garantir un produit de qualité dans le processus de sourcing.

1-D'où viennent nos bananes ?

Nos bananes séchées sont sourcées en Equateur dans l’Ouest du pays. Dans la province du Guayas. Cette région est une zone riche de plaines et d’herbes sauvages. C’est ici qu'abritent les plantations de Xavier, notre producteur de bananes séchées.

Xavier exporte ses bananes bio fraîches vers l’Europe, mais il se retrouve avec environ 7 % d’écarts de tri : des fruits un peu abîmés qui sont mis de côté. C’est en faisant ce constat que Xavier et son équipe ont décidé de démarrer une production de bananes séchées. Les fruits écartés sont pelés puis séchés, ce qui permet de n’avoir aucune perte.

2-Comment sont-elles séchées ? 

Les bananes sont cueillies, regroupées sous les bâches afin de les laisser mûrir à l'abri de la lumière. Ensuite, elles sont épluchées, et enfin placées sur de grandes plaques où elles sèchent au four lentement et à basse température pour garder toutes leurs saveurs.

3-Impact économique, social et environnemental

Impact économique et social 

Selon les données partagées par notre fournisseur, 4 millions de familles vivent de la culture de la banane. Ce qui souligne ainsi l'importance économique et sociale de cette industrie pour de nombreuses communautés à travers le monde. L'évolution des salaires minimums des travailleurs augmente de 15 à 20 %. Cette revalorisation salariale apporte une stabilité financière cruciale dans une région où le chômage prédomine. Grâce à cette démarche, l'économie locale s'enrichit, et de nombreuses familles bénéficient directement de ces revenus supplémentaires.

Impact environnemental 

Le transport des bananes depuis leur lieu de production jusqu'au consommateur final est une étape cruciale à prendre en compte. C'est pourquoi nos bananes comme nos mangues et la plupart de nos matières premières voyagent en bateau plutôt qu'en avion.  

Source : Agrosourcing